Nous avons fini par trouver un endroit pour le camping-car au bord de la dune pour déjeuner. De là, la vue est grandiose.

C'est la fin de l'été ici et les gens se baignent encore contrairement à nous.

L'endroit n'est pas si idyllique. Si le camping-car est équipé de moustiquaires à toutes les ouvertures, ce n'est pas pour faire joli. Ici, elles se justifient pleinement. Super voraces les moustiques néo-zélandais.

Du coup DH et sa fille sont partis se réfugier sur la plage beaucoup plus paisible en attendant le café.

De toute beauté, la propriété de l'autre côté de la route sur la hauteur avec sa maison en bois et son grand jardin exotique.

Nous reprenons la route vers des hauts plateaux du nord ouest de l'île sud, passage obligé pour notre prochain arrêt au cap Foldwing avec de belles rencontres en perspective.

Nous repartons de Punaikaki vers le nord avec comme prochaine étape, le cap Foldwing.

Un monde qui parait inaccessible s'offre à nous de temps en temps côté montagne, une nature à l'état pur, fascinante.

Mais la route est encore longue et nous abandonnons le niveau de la mer

pour remonter dans des terres plus hautes toujours le long de la côte.

 Côté mer, nous ne restons pas non plus sur notre faim.

Nous ferons une halte à un point de vue suivant,

pour mesurer l'étendue de la côte que nous avons laissé derrière nous mais aussi sur ce qui nous attend pour la suite de notre voyage.

avec peut être un déjeuner le long de la mer par là-bas.

Le dernier point de vue très particulier de ce site et le plus connu est celui-ci.

Bien sur si l'homme foule en masse les hauteurs de ces belles falaises, l'oiseau (enfin des colonies d'oiseaux) s'en est attribué les bas.

Avant de finir notre tour, coup d'oeil en contrebas.

Accessible que par la mer et à marée basse, on voit mieux les roches qui se sont érodées en forme de pancakes, d'où le nom du site: Pancakes Rocks.

Voilà notre visite se termine, un bel endroit très nature à ne pas rater.

Ah oui, et pour les amateurs du genre, une autre beauté mais côté civilisation.

Nous continuons notre promenade sur le site  avec le bas de la photo de la fin du post précédent.

Des roches inapprochables pour l'homme avec une érosion très particulière comme tout le site d'ailleurs.

Un peu plus loin, encore de très beaux rochers plus vrai que nature.

Je n'ai pas encore fini de vous montrer ce site alors:

 Nous arrivons à Punaikaki.

et plus particulièrement dans le Paparoa National Park et son côté mer avec ses rochers qui ont subi de drôle d'érosions.

Caprice ou génie de la nature, à vous de juger.

En tout cas une chose est sure, l'arrêt non seulement vaut le coup d'oeil mais laisse place à l'imagination de chacun.

Bien sur la visite n'est pas finie!

Des pingouins? Super!

Hélas, nous n'en verrons pas, pas cette fois-ci. A cette heure, ils sont presque toujours en mer pour manger.

Par contre, d'autres animaux avec un peu d'imagination, voir de réalisme, se sont imposés à nous par les formes de ces rochers que nous avions repérés de loin.

On a perdu le soleil des jours précédents mais ce n'est pas vraiment important, surtout que jusqu'à présent, nous avions plutôt été gâtés par le temps. Qu'importe, le paysage est toujours aussi grandiose même s'il parait déserté.

Côté forme de rochers, ce n'est toujours pas fini, le site le plus spectaculaire se rapproche.

Laissant Greymouth derrière nous, nous remontons vers le nord avec de beaux panoramas sur la côte ouest

Au niveau de Rapahoe tout d'abord et sa belle plage

Un peu plus loin au détour d'un virage, un lookout avec son mémorial.

Encore plus loin, juste avant de se rapprocher de ces  "cailloux" dans l'eau, en fond de la photo au-dessus, un regard jeté à travers la vegétation pour découvrir ceci, perdu en contre-bas à l'embouchure d'une rivière.

Et ce n'est pas fini!

Après notre journée à Shantytown, nous nous arrêtons dans la banlieue de Greymouth pour la nuit. Un camping côtier de 2 étoiles qui possède trois jacuzzis, quelle heureuse surprise de pouvoir en profiter pour chasser la fatigue de la journée.

Puisque le temps est toujours magnifique, un petit tour s'impose sur la plage avant le coucher de soleil sur la mer de Tasman.

On peut toujours rêver.....ou chercher de l'or.

C'est un pays riche par son histoire sur les ruées vers l'or qui ont colonisé et décolonisé les régions de l'île sud au gré des filons trouvés.

Alors, pourquoi pas essayer!

Ici, on ne descendra pas dans la rivière, ni dans la mine.

Dans une clairière sont aménagés des séries de bacs où vous attendent des bassines en ferraille.

Quelques explications plus tard, nous voilà pris par la fièvre de l'or(lol),

essayant de trouver les bons gestes, pas facile, pour peut être un début de fortune.

Et enfin, au fond les poussières et de toutes, toutes petites pépites d'or.

Ce n'est pas encore aujourd'hui que l'on fera fortune. On se contentera de partir avec notre souvenir.

Ce n'est déjà pas si mal.

Je sais qu'en France, on peut aussi s'essayer à ce genre d'activités, si vous en avez l'occasion, n'hésitez pas. Ce n'est pas si facile que ça mais c'est très sympa comme expérience.

Son tchou-tchou au départ que l'on entend de très loin, le bruit de la motrice qui nous pousse, sa fumée, il ne manque plus que des costumes d'époque pour se projeter complètement, surtout que l'intérieur est comment dire, très: 

On aura même le droit à un arrêt pour voir "la bête" de près:

Ce qui est bien de la seconde classe, c'est le paysage qui s'offre à vous.

Tout le monde descend.

Enfin nous au moins, nous partons à la recherche de la mine d'or et plus si affinités.