Quatre kilomètres nous séparent du parking du glacier point de départ de la ballade pour voir le glacier de près.

Un temps magnifique nous accompagne ce qui ne gâche rien sans parler de l'arrière-plan très prometteur, la blancheur, les cascades.

Coup d'oeil sur la route jusqu'à Franz Josef Glacier,

Bien sûr, il faut aussi relever la tête:

Et enfin le panneau de Franz Josef Glacier. Plus que 4 km jusqu'au glacier.

A ce stade de notre voyage, nous sommes arrivés à la même hauteur côté est que sur la côte ouest où nous avions atterri à Christchurch, vous vous souvenez.

Ils nous restent un bon bout de trajet jusqu'à Picton sur le bord de côte tout d'abord. Ensuite, nous allons traverser de nouveau les Alpines dans le nord de l'île avant d'arriver sur les bords de fjords et enfin la ville de Picton où nous prendrons le Ferrry direction l'île nord.

Cela fait déjà une année que nous sommes rentrés de ce pays qui nous a complètement conquis.

Et cela fait aussi un an que vous me suivez sur les routes de ce beau pays à travers ce blog qui mérite un

Je dis village, mais en fait c'est tout simplement Fox Glacier.

Un village étendu de la mer à la montagne avec un petit centre, son épicerie, un saloon ( jamais vu que dans les westerns), une station service.

Restent les maisons croisées dans le village, en bois ou pas, vieilles ou plus récentes.

Décidement, j'aime bien leurs maisons  aux formes si diverses.

Prochaine étape, le second glacier de la région ouest accessible par la route. Le soleil en plus est avec nous. Super!

 Je vous les ai déjà montré au coucher du soleil, mais sur le chemin du lac Matheson, la vue est encore plus dégagée.

Au soleil matinal, les Mont Tasman et Cook sont magnifiques.

De plus près, toute cette blancheur:

Voilà derniers regards sur ces hauts monts, il est temps pour nous de retourner au camping pour nos corvées. Et oui, c'est aussi cela les joies du camping-car.

Un autre endroit aux abords du village de Fox glacier à ne pas rater est le lac Matheson à son lever ou coucher de soleil. C'est un lac photographié depuis des décennies pour ses reflets somptueux du paysage dans ses eaux.

En touristes curieux de tout que nous sommes, pas question de rater ça. Avant même de prendre le petit-déjeuner, on s'est rendu compte d'un mouvement conséquent de camping-cars autour de nous. Pas de pain frais à l'horizon, nul doute tout ce monde partait pour le lac. Il n'y a plus qu'à suivre!

Le parking à quelques kilomètres de là ne laissait aucun doute sur le monde qui assisterait au spectacle. Mais le site était encore dans le brouillard alors on eut le temps de déjeuner et surtout de se couvrir.

Il ne fait pas spécialement chaud au pied des Alpines au petit matin.

Le site est très bien aménagé comme toujours. Une promenade agréable dans les bois avec un soleil timide qui essaie de percer à travers la brume matinale.

Et Enfin le lac et ses reflets magnifiques.

Nous voilà arrivés au camping où nous étions passés plus tôt pour retenir un emplacement face à la montagne.

Une fois posée devant mon café en plein déchargement d'APN, j'entends des voix qui portaient.

Un coup d'oeil plus tard, nous voilà dehors, faisant front à un magnifique perroquet qui picore à grand bruit les toits de camping-car en camping-car de l'autre côté de l'allée.

Il finit par être délogé et se réfugia sur le bitume devant les commodités où l'on put l'admirer pleinement.

Une belle bête d'une certaine envergure qui vit en altitude près de l'homme dont à priori, il n'a pas vraiment peur.

Une autre chose aussi très développée en Nouvelle Zélande est les aires de jeux pour les enfants. Dans beaucoup de villages, de villes on a pu voir des structures gratuites très bien achalandées et en plus entretenues.

Une politique différente de la France où l'enfant est roi et où les parents rament pour faire sortir leur progéniture au moment du départ, notre rejeton de 11 ans compris.

Le plus, c'est que du coup elle écoutait les enfants parler leur langue et revenait très souvent dubitative. Dur, dur l'anglais pour une petite francaise de sixième.

Quand à moi, je suis retournée à mes photos et mon café mais pas pour longtemps.

En relevant la tête, je me rends compte que le soleil va se coucher plein de promesses sur les plus hauts sommets de la Nouvelle-Zélande.

Mon pauvre café ne sera jamais bu à ce tarif.