Nous voilà arrivés au camping où nous étions passés plus tôt pour retenir un emplacement face à la montagne.
Une fois posée devant mon café en plein déchargement d'APN, j'entends des voix qui portaient.
Un coup d'oeil plus tard, nous voilà dehors, faisant front à un magnifique perroquet qui picore à grand bruit les toits de camping-car en camping-car de l'autre côté de l'allée.
Il finit par être délogé et se réfugia sur le bitume devant les commodités où l'on put l'admirer pleinement.
Une belle bête d'une certaine envergure qui vit en altitude près de l'homme dont à priori, il n'a pas vraiment peur.
Une autre chose aussi très développée en Nouvelle Zélande est les aires de jeux pour les enfants. Dans beaucoup de villages, de villes on a pu voir des structures gratuites très bien achalandées et en plus entretenues.
Une politique différente de la France où l'enfant est roi et où les parents rament pour faire sortir leur progéniture au moment du départ, notre rejeton de 11 ans compris.
Le plus, c'est que du coup elle écoutait les enfants parler leur langue et revenait très souvent dubitative. Dur, dur l'anglais pour une petite francaise de sixième.
Quand à moi, je suis retournée à mes photos et mon café mais pas pour longtemps.
En relevant la tête, je me rends compte que le soleil va se coucher plein de promesses sur les plus hauts sommets de la Nouvelle-Zélande.
Mon pauvre café ne sera jamais bu à ce tarif.